Tous les débunks

Michelin : cette amitié incroyable entre un ouvrier et le Directeur Monde
C’est l’histoire d’une amitié improbable entre : Un ouvrier qui a passé 43 ans chez Michelin. Et l’ex-Directeur Industriel Monde du groupe. Tout commence en 2021. Jean-Michel Frixon prend sa retraite après 43 ans chez Michelin. Il écrit un livre pour raconter son expérience à ses enfants : "Michelin. Matricule F276710". Un texte brut, qui raconte la réalité d’une carrière d’ouvrier à l’usine. Des descriptions sans concession d’un environnement de travail germinalesque, des portraits de personnes rencontrées, et des anecdotes précises qui restent en tête comme des leçons qui devraient être à la portée de n’importe quel manager. Après la sortie du livre, Jean-Michel reçoit un appel du groupe Michelin : on lui demande un rendez-vous. Il se rend dans le bureau de Jean-Christophe Guérin, Directeur Industriel Monde de Michelin. Jean-Michel est persuadé qu’il va se faire engueuler et que cette histoire va finir aux prud’hommes. Mais c’est tout l'inverse qui se produit : plutôt que de mettre l’ouvrage sous le tapis, Jean-Christophe lui propose de prendre la parole devant le leadership du groupe. Mieux : il lui propose de faire la tournée de toutes les usines Michelin pour parler aux managers. Pour leur faire prendre conscience de l'impact immense qu'ils ont sur leurs équipes. Pour le meilleur comme pour le pire. Depuis, les deux hommes sont devenus amis et font des conférences qui cartonnent partout en France. On les surnomme le “duo improbable” (ou inséparable). Ce qui est remarquable dans cette histoire ? Au-delà de l’amitié, c'est l'intelligence de la réaction de Michelin. Plutôt que de voir le livre comme une menace, ils l'ont vu comme une opportunité de transformation : parce que rien ne vaut un témoignage brut, tiré du terrain, pour incarner et transmettre une culture managériale. On les a interviewés pour notre prochain documentaire, et c’était mémorable. Je raconte les coulisses dans ma dernière newsletter : https://lnkd.in/egB3VWgd
Inspirant

Marilyn Monroe a soulagé un soldat immobilisé à l'hôpital
Japon, 1954. Dans une salle d’hôpital militaire, où l’air sentait le désinfectant et le silence, un soldat américain restait immobile, allongé sur le ventre, le dos brisé après un accident. Sa guérison exigeait une immobilité absolue ; son monde se limitait au sol, à l’oreiller et au reflet métallique de la civière. Jusqu’à ce qu’elle entre. Marilyn Monroe, en pleine tournée pour visiter les troupes, avançait entre les lits et les bandages, avec un sourire qui éclairait davantage que n’importe quel projecteur d’Hollywood. Mais lorsqu’elle arriva jusqu’à lui, le soldat ne pouvait ni se retourner, ni se redresser, ni la voir. Marilyn n’hésita pas une seconde. Elle s’agenouilla, glissa la tête sous la civière… et apparut dans son champ de vision, à l’envers, comme un éclat d’humanité et de beauté impossible. Il éclata de rire. Marilyn aussi. La pièce se transforma. Pendant quelques secondes, la douleur cessa d’être douleur. La guerre cessa d’être guerre. Et être héros cessa d’être un poids. Ce n’était pas un geste pour les caméras. Pas de flash, pas de journalistes, pas d’applaudissements. Juste une femme célèbre qui avait compris quelque chose de simple et de profond : Quand quelqu’un ne peut pas se lever pour te voir, c’est à toi de t’incliner pour aller vers lui. Cette photographie, saisie dans un instant presque intime, ne montre pas du glamour. Elle montre quelque chose de plus précieux : de l’empathie à l’état pur. Un rappel que la grandeur ne se trouve pas toujours sur les scènes, mais dans ces petites décisions qui touchent une seule vie.
Inspirant

Otage durant 3 ans, il est convoqué par le Trésor public pour non-déclaration de revenus
Un exemple tragi-comique du dynamisme de notre bureaucratie ? J'écoutais la semaine dernière l'ancien #otage français en #Iran, Benjamin Brière, dans la matinale de France Inter : à peine rentré en France, après 1079 jours en prison, il s'est vu convoqué pour non-déclaration de ses revenus pendant les trois années de sa détention ! Et il lui a fallu négocier, expliquer et même écrire un livre pour arriver à se faire comprendre (il raconte que c'est une agent du Trésor Public qui, après avoir lu son livre et en avoir été émue, a finalement permis de régulariser son dossier). Pour réfléchir sur le fond, une très bonne analyse de cette #bureaucratie bien française par Jean Tirole : https://lnkd.in/eQBnw8CS. [https://lnkd.in/e6TFJvUn] Cercle K2, Institut des hautes études de défense nationale IHEDN, Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ)
Politique française et européenne

Sniper Alley à Sarajevo pendant la guerre de Bosnie
Sniper Alley : ce que signifiait survivre et ce que faisaient les “touristes de la mort”. La vidéo que je partage montre Sniper Alley à Sarajevo pendant la guerre de Bosnie. On y voit des personnes courir pour survivre. Courir… parce que si tu cours, tu as une chance. Si tu ne cours pas, tu crèves. C’était la réalité quotidienne. Et ce que beaucoup ignorent encore, c’est que sur ces mêmes scènes, des étrangers venus de France, d’Allemagne, d’Italie et d’ailleurs ont payé pour “participer” le temps d’un week-end à cette chasse à l’homme. Ils s’installaient derrière les fusils et canardaient les civils que vous voyez courir dans cette vidéo. Des femmes, des hommes, des enfants. Comme un jeu. Comme un loisir. Nous sommes vivantes pour faire justice et personne ne nous arrêtera. Nejra MUSABAŠIĆ
Culture et histoire

Les safaris humains pendant la guerre de Bosnie
L'Horreur absolue, en Europe, des safaris humains organisés pour choisir de tuer un enfant, une femme enceinte, un adulte, le temps d'un week-end. ""Safaris humains": des "touristes" italiens auraient payé pour tuer des civils pendant la guerre de Bosnie : Les "chasseurs" auraient payé jusqu'à 100 000 euros pour jouer les snipers durant le siège de Sarajevo (1992-1996). Il fallait verser un supplément pour s'en prendre à des enfants." "Des citoyens ordinaires, liés à des milieux d'extrême droite et passionnés d'armes, auraient eu recours à ce service comme à une sorte de safari humain dans la ville assiégée", raconte le journal. "Selon la plainte, ils se rendaient de Trieste à Belgrade à bord d'un vol de la compagnie serbe Aviogenex, qui opérait alors depuis l'aéroport italien. Pour jouer les snipers le week-end, ils auraient déboursé l'équivalent de 80 000 à 100 000 euros, selon les premières hypothèses de l'enquête. " "Tirer sur des enfants coûtait plus cher." https://lnkd.in/e568w8Gk "Ils partaient le vendredi de Turin, de Milan ou encore de la Vénétie. Ils se retrouvaient à Trieste, à la frontière italienne de l’actuelle Slovénie, où ils embarquaient dans un avion en direction de Belgrade. Par hélicoptère ou par véhicule, ils s’approchaient ensuite au plus près de la guerre. Là, depuis les collines dominant Sarajevo, ils payaient l’équivalent de dizaines de milliers d’euros pour tirer sur des civils." "Le prix pour planter une balle dans le corps d’un enfant était plus élevé." https://lnkd.in/eCMFHVMJ "lors du procès du dirigeant serbe Slobodan Milosevic à La Haye, on a parlé de « tireurs touristes » portant des vêtements et des armes distinctifs qui se démarquaient parmi les soldats serbes. "https://lnkd.in/e7WFCxes Le portrait type de ces gens "ordinaires" : - des hommes et non des femmes - des hommes assez riches pour dépenser 100 k€ le temps d'un weekend - des hommes habitués au maniement d'armes, donc adeptes du tir - des hommes capables de choisir comme cible un être humain en toute impunité Et pas que des italiens, également des français, des britanniques et une omerta de l'ensemble de nos élus politiques qui ne pouvaient pas ne pas savoir, ne serait-ce que par les états majors militaires engagés sur place et les services de renseignement. Il ne reste plus que la société civile pour crier l'horreur absolue.
Culture et histoire

Comment Dr Aris Thorne est redevenu un homme en sauvant un renardeau du froid
Il n’avait pas le droit d’intervenir. Mais ce jour-là, face à un minuscule renard glacé et mourant, toutes les règles ont volé en éclats. Le Dr Aris Thorne passe six mois par an dans une station isolée de l’Arctique. Là-bas, son travail est simple : observer la nature, jamais la modifier. C’est la règle d’or. En rentrant d’une inspection de capteur météo, il a remarqué une petite tache blanche sur la neige. Ce n’était pas une congère… C’était un renardeau, recroquevillé, tremblant, incapable même de relever la tête. Tout, dans sa formation, lui disait de partir. La nature suit son cours, les faibles ne survivent pas. Mais Aris est resté figé, le vent fouettant son visage, incapable de tourner le dos. « Au diable les règles », a-t-il soufflé. Il a ramassé le petit corps glacé, l’a ramené à sa tente, enveloppé dans une couverture thermique. Sur ses genoux, il a ouvert l’une de ses rations et tenté quelques cuillerées de bouillon. Le renard a levé la tête pour la première fois, attiré par la chaleur. À cet instant, Aris n’était plus un scientifique. Juste un homme refusant de laisser une vie s’éteindre dans le froid arctique. 🦊💙
Inspirant

Bill Gates voyage en classe économie en avion
Jusqu’en 1997, Bill Gates voyageait en 𝗖𝗹𝗮𝘀𝘀𝗲 𝗘́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲. Et ce n’était pas parce qu’il n’avait pas les moyens pour un surclassement ❌ → Mais plutôt, car il n’y voyait pas 𝗹𝗮 𝘃𝗮𝗹𝗲𝘂𝗿. Pour lui, Business et First Class n’étaient qu’une légère amélioration du service proposé par rapport à Economy. Et au final, tout le monde prend le même temps pour arriver à sa destination. Dans la même logique, je pourrais aujourd’hui me permettre un steak de bœuf de Kobe à 150 euros. Mais une entrecôte à 25 euros est tout aussi excellente 👌 À part la sécurité, l’argent apporte surtout de la flexibilité. Comment vivre au mieux des expériences en fonction de ce qu’on valorise à l’instant T ? Chacun est différent donc inutile de débattre sur ce qui est bien ou ce qui est moins bien. À certains moments, une fondue et un camping avec des potes à 2300m d’altitude peuvent valoir bien plus qu’une nuit à l’Hôtel Plaza à New York. (Peut-être pas en hiver par contre 😂) Et vous ? Economy ou Business Class ? 🤔
Inspirant

Le parcours universitaire de Jordan Bardella
Le parcours de Jordan Bardella à l’université, qui n’a jamais obtenu sa licence Avec son bac ES, Jordan Bardella tente le concours d’entrée à Sciences Po Paris, où il présente un sujet sur la guerre d’Algérie, mais échoue. Il s’oriente ensuite vers une licence de géographie à l’Université Paris-Sorbonne, qu’il couple avec une double licence histoire et espagnol. Mais les premières notes sont très basses : 5/20 de moyenne. Bardella abandonne rapidement la double licence au bout d’un semestre. Il parvient tout de même à valider sa première année avec : -10,5/20 au premier semestre - 12,75/20 au second semestre, grâce à la session de rattrapage en 2014, où il obtient 17,5/20 en aïkido, une matière optionnelle de sport universitaire, qui lui permet de remonter sa moyenne et valider son année. -5/20 et 2,6/20 aux semestres 4 et 5, avec "une majorité de 0 pointés" - 5/20 en Monde arabe ...et en 3e année, seulement 1,8/20 de moyenne au 6ᵉ semestre. Sur les 10 épreuves prévues, il ne se présente qu’à une seule (sur le thème de l’Union européenne) où il obtient 14,5/20. Il ne validera que sa première année et n’obtiendra jamais sa licence.
Politique française et européenne

Citation de Mark Twain
Une leçon d’audace. Il ne savait pas que c'était impossible... alors il l'a fait. Cet enfant en quelques secondes nous montre des qualités précieuses, qui valent aussi bien dans la vie de tous les jours, au travail ou dans l'entreprenariat : ✅ L’audace : Oser agir même face à l’incertitude, aux croyances limitantes, aux obstacles ou à la peur. ✅ La créativité : trouver une solution là où personne n’y pense. ✅ La persévérance : essayer, ajuster, recommencer. ✅ L’empathie : avancer sans brusquer, même avec un objectif ambitieux. ✅ La confiance en soi : agir sans douter de ses capacités, en dépassant nos croyances limitantes. ✅ L’adaptation : composer avec les imprévus… et les poules récalcitrantes. ✅ La prise d’initiatives : parfois, il suffit juste d’oser, sans tout compliquer. ✅ Le courage : ignorer les “ce n’est pas possible” qu’on entend trop souvent. Voici 3 leçons à retenir : 1️⃣ Ne vous auto-censurez pas : --> Arrêtez de vous dire que c’est impossible avant d’avoir essayé. --> Prenez conscience de vos croyances limitantes. --> 100% des gagnants ont tentés leur chance ! 2️⃣ Soyez audacieux : --> Osez tenter de nouvelles choses, sortir de votre zone de confort, vous avez tout à y gagner. 3️⃣ Ne sous-estimez jamais l'effet de la spontanéité. « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » – Mark Twain Et vous, avez-vous déjà osé tenter quelque chose que tout le monde pensait impossible ? Comment cela s’est-il passé ? Quelles sont vos astuces pour oser et faire preuve d’audace ? ⬇️ Partagez en commentaire ♻️ Republiez ce post si vous croyez en l’audace comme moteur de succès. 🔔 Suivez-moi pour plus de conseils. _______________________________ Conseiller en gestion de patrimoine, je vous aide à développer, optimiser et sécuriser votre patrimoine, avec une approche claire, rigoureuse et sur mesure.
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