Tous les débunks

La Suède importe des déchets pour faire tourner ses usines de recyclage
Le succès du recyclage en Suède : quand les déchets deviennent un trésor 🇸🇪 La Suède recycle près de 99 % de ses déchets ménagers, un record mondial. Grâce à une politique écologique ambitieuse et à des décennies d’éducation, seulement 0,7 % des déchets finissent en décharge. Environ 52 % sont incinérés pour produire chauffage et électricité, et 47 % sont recyclés ou compostés. Les centrales de valorisation énergétique sont si efficaces qu’elles chauffent plus d’un million de foyers et alimentent 250 000 en électricité. Le pays recycle tellement bien qu’il importe près de 2 millions de tonnes de déchets chaque année, payées par d’autres pays comme le Royaume-Uni ou la Norvège, pour les transformer en énergie. 💶 En 2020, cette stratégie a rapporté 1,7 milliard d’euros à la Suède, prouvant qu’une gestion intelligente des déchets peut être à la fois écologique et rentable.
Environnement et écologie

L’histoire inspirante de l’esclave Ruth Washington
Ne crois à personne crois à ton destin 💔🕊️ Elle valait “deux dollars”… pourtant elle portait en elle un génie que personne n’avait vu. Douze acheteurs l’avaient examinée puis rejetée. Le commissaire-priseur, excédé, baissait le prix encore et encore. Un esclave en bonne santé valait 800 $. Un cheval, 50 $. 👉 « Dix dollars ! » Silence. 👉 « Cinq dollars ! » Un fermier éclata de rire : 😒 « Je ne la prendrais même pas gratuitement ! Elle mourra avant d’arriver chez moi ! » Son nom était Ruth Washington, et son histoire était un cauchemar de huit ans. Vendue enfant à une plantation de tabac en Virginie, elle travaillait 18 heures par jour. Ses mains étaient déformées, son corps ravagé, sa respiration sifflante… et elle avait dû creuser les tombes de ses trois enfants morts de malnutrition. Même les autres esclaves l’évitaient. « Elle a un pied dans la tombe », murmuraient-ils. Mais derrière ses yeux éteints… brûlait une intelligence farouche que personne ne voyait. 🔥 🧩 L’homme qui la paya… deux dollars Un jour, Thomas Mitchell, petit commerçant ruiné, passa au marché aux esclaves. Il avait 50 $ en poche. C’est dans la section “rebut” qu’il vit Ruth. « Deux dollars, et je te préviens : elle ne tiendra pas une semaine », cracha l’enchérisseur. Contre toute logique, Thomas sortit deux pièces d’argent. « Marché conclu. » 🍲🏡 Sa première mission : survivre Arrivée chez Thomas, il lui dit simplement : « Tu n’as qu’un travail : vivre. » Trois repas par jour. Un lit. Un toit. En une semaine, ses plaies commencèrent à guérir. En deux semaines, elle respirait mieux. Mais surtout… En deux semaines, le magasin de Thomas avait été entièrement réorganisé. Produits classés par catégories, notes sur les marges, erreurs corrigées avec précision. Thomas n’en croyait pas ses yeux. « Ruth… comment sais-tu tout ça ? » « J’observe, monsieur. J’ai toujours observé. » Pendant ses années de souffrance, Ruth avait secrètement étudié les négociations, les prix du marché, les comptes des plantations. Mieux encore : elle savait lire et écrire, appris clandestinement en regardant les cours des enfants blancs. 📝 📈⚡ Le génie commercial d’une femme réduite en esclavage Ruth décrivit froidement les erreurs de Thomas : « Vous perdez 40 % de vos profits. Mauvaises saisons, mauvais stocks, mauvais prix. Laissez-moi gérer pendant six mois. Je vous le prouve mathématiquement. » Elle mit en place : ✔ achats en gros ✔ inventaire stratégique ✔ système de crédit avec intérêts Les résultats furent spectaculaires : 📈 Mois 1 : +150 % de bénéfices 📈 Mois 2 : +200 % 📈 Mois 3 : +300 % 💼🔥 Puis elle attaqua un marché encore plus lucratif : les camps militaires Les soldats confédérés payaient cinq fois plus pour du savon, du tabac ou de la nourriture. Ruth étudia leurs besoins, leurs itinéraires, leurs manques. Elle lança alors : 🥧 des tartes 🍞 du pain 🍪 des biscuits tous faits maison à 4 h du matin. Chaque jour, tout était vendu avant midi. Suite, reste en commentaire 👇👇
Culture et histoire

Steve Jobs a renié sa fille mais a donné le même prénom à un ordi
Il a renié sa fille mais a donné son prénom à un ordi de 50 millions $. 💻 En 1978, Chrisann Brennan a donné naissance à une fille, Lisa. À ce moment-là, Steve Jobs a nié être le père. Même sous serment. 🧬 Un test ADN en 1980 a établi à 94,1% la probabilité qu’il soit le père, mais Jobs a continué à nier la paternité et a versé la pension mensuelle minimale (385$) alors qu’il était déjà millionnaire. Ce n’est qu’en 2000, lors d’un déjeuner avec Bono (chanteur du groupe U2), que Steve Jobs a fini par reconnaître publiquement que l’ordinateur Lisa portait en réalité le nom de sa fille. Une révélation qui a profondément marqué Lisa Brennan-Jobs. ℹ️ Sources : CBC, CNET, Time #SteveJobs #Apple
Inspirant
L'histoire inspirante du billet de 50 euros
La vraie chance, c’est de faire la bonne chose… Vendredi dernier, en allant chercher mon fils à l’école, j’ai trouvé un billet de 50 euros posé devant l’entrée. Ma première réaction a été de penser : “Quelle chance !” Mais presque aussitôt, j’ai pensé à la personne qui l’avait perdu… Peut-être une maman dans le besoin, qui comptait sur cet argent pour nourrir sa famille ou payer une dépense importante. Je me suis souvenu d’un moment marquant de mon enfance : Un jour, ma mère est rentrée à la maison en larmes parce qu’elle avait perdu son salaire hebdomadaire. Le lendemain, tous ses collègues se sont mobilisés pour récolter cette somme et l’aider. Ce souvenir m’a rappelé à quel point la perte de quelques billets pouvait bouleverser une vie. À l’école, il y avait une réunion. J’hésitais… Comment demander si quelqu’un avait perdu 50 euros sans que cela paraisse étrange ? Finalement, je suis rentré chez moi. Mais cette pensée me hantait. J’ai fini par retourner à l’école et demandé aux enseignants si quelqu’un avait signalé la perte d’un billet. L’un d’eux m’a répondu presque immédiatement : “Oui, une maman l’a signalé… C’était un billet de 50 euros.” On a rapidement retrouvé cette maman. En larmes, elle m’a raconté que cet argent était destiné à acheter de la nourriture pour le week-end et que son mari était en colère, pensant que cet argent était définitivement perdu. Elle n’arrivait pas à croire que quelqu’un l’avait rendu. Je n’ai pas seulement été reconnaissant d’avoir trouvé ces 50 euros… mais surtout, d’avoir eu la conscience et l’intégrité de chercher leur véritable propriétaire. Je suis convaincu que la vraie chance ne peut pas venir du malheur des autres. Je ne pourrais jamais dire : “Merci, Dieu, de m’avoir donné 50 euros”, en sachant qu’au même moment, quelqu’un était peut-être en larmes de les avoir perdus. La vraie chance, c’est de faire ce qui est juste. ❤️ Tirée d’une histoire vraie
Inspirant

Michelin : cette amitié incroyable entre un ouvrier et le Directeur Monde
C’est l’histoire d’une amitié improbable entre : Un ouvrier qui a passé 43 ans chez Michelin. Et l’ex-Directeur Industriel Monde du groupe. Tout commence en 2021. Jean-Michel Frixon prend sa retraite après 43 ans chez Michelin. Il écrit un livre pour raconter son expérience à ses enfants : "Michelin. Matricule F276710". Un texte brut, qui raconte la réalité d’une carrière d’ouvrier à l’usine. Des descriptions sans concession d’un environnement de travail germinalesque, des portraits de personnes rencontrées, et des anecdotes précises qui restent en tête comme des leçons qui devraient être à la portée de n’importe quel manager. Après la sortie du livre, Jean-Michel reçoit un appel du groupe Michelin : on lui demande un rendez-vous. Il se rend dans le bureau de Jean-Christophe Guérin, Directeur Industriel Monde de Michelin. Jean-Michel est persuadé qu’il va se faire engueuler et que cette histoire va finir aux prud’hommes. Mais c’est tout l'inverse qui se produit : plutôt que de mettre l’ouvrage sous le tapis, Jean-Christophe lui propose de prendre la parole devant le leadership du groupe. Mieux : il lui propose de faire la tournée de toutes les usines Michelin pour parler aux managers. Pour leur faire prendre conscience de l'impact immense qu'ils ont sur leurs équipes. Pour le meilleur comme pour le pire. Depuis, les deux hommes sont devenus amis et font des conférences qui cartonnent partout en France. On les surnomme le “duo improbable” (ou inséparable). Ce qui est remarquable dans cette histoire ? Au-delà de l’amitié, c'est l'intelligence de la réaction de Michelin. Plutôt que de voir le livre comme une menace, ils l'ont vu comme une opportunité de transformation : parce que rien ne vaut un témoignage brut, tiré du terrain, pour incarner et transmettre une culture managériale. On les a interviewés pour notre prochain documentaire, et c’était mémorable. Je raconte les coulisses dans ma dernière newsletter : https://lnkd.in/egB3VWgd
Inspirant

Marilyn Monroe a soulagé un soldat immobilisé à l'hôpital
Japon, 1954. Dans une salle d’hôpital militaire, où l’air sentait le désinfectant et le silence, un soldat américain restait immobile, allongé sur le ventre, le dos brisé après un accident. Sa guérison exigeait une immobilité absolue ; son monde se limitait au sol, à l’oreiller et au reflet métallique de la civière. Jusqu’à ce qu’elle entre. Marilyn Monroe, en pleine tournée pour visiter les troupes, avançait entre les lits et les bandages, avec un sourire qui éclairait davantage que n’importe quel projecteur d’Hollywood. Mais lorsqu’elle arriva jusqu’à lui, le soldat ne pouvait ni se retourner, ni se redresser, ni la voir. Marilyn n’hésita pas une seconde. Elle s’agenouilla, glissa la tête sous la civière… et apparut dans son champ de vision, à l’envers, comme un éclat d’humanité et de beauté impossible. Il éclata de rire. Marilyn aussi. La pièce se transforma. Pendant quelques secondes, la douleur cessa d’être douleur. La guerre cessa d’être guerre. Et être héros cessa d’être un poids. Ce n’était pas un geste pour les caméras. Pas de flash, pas de journalistes, pas d’applaudissements. Juste une femme célèbre qui avait compris quelque chose de simple et de profond : Quand quelqu’un ne peut pas se lever pour te voir, c’est à toi de t’incliner pour aller vers lui. Cette photographie, saisie dans un instant presque intime, ne montre pas du glamour. Elle montre quelque chose de plus précieux : de l’empathie à l’état pur. Un rappel que la grandeur ne se trouve pas toujours sur les scènes, mais dans ces petites décisions qui touchent une seule vie.
Inspirant

Otage durant 3 ans, il est convoqué par le Trésor public pour non-déclaration de revenus
Un exemple tragi-comique du dynamisme de notre bureaucratie ? J'écoutais la semaine dernière l'ancien #otage français en #Iran, Benjamin Brière, dans la matinale de France Inter : à peine rentré en France, après 1079 jours en prison, il s'est vu convoqué pour non-déclaration de ses revenus pendant les trois années de sa détention ! Et il lui a fallu négocier, expliquer et même écrire un livre pour arriver à se faire comprendre (il raconte que c'est une agent du Trésor Public qui, après avoir lu son livre et en avoir été émue, a finalement permis de régulariser son dossier). Pour réfléchir sur le fond, une très bonne analyse de cette #bureaucratie bien française par Jean Tirole : https://lnkd.in/eQBnw8CS. [https://lnkd.in/e6TFJvUn] Cercle K2, Institut des hautes études de défense nationale IHEDN, Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ)
Politique française et européenne

Sniper Alley à Sarajevo pendant la guerre de Bosnie
Sniper Alley : ce que signifiait survivre et ce que faisaient les “touristes de la mort”. La vidéo que je partage montre Sniper Alley à Sarajevo pendant la guerre de Bosnie. On y voit des personnes courir pour survivre. Courir… parce que si tu cours, tu as une chance. Si tu ne cours pas, tu crèves. C’était la réalité quotidienne. Et ce que beaucoup ignorent encore, c’est que sur ces mêmes scènes, des étrangers venus de France, d’Allemagne, d’Italie et d’ailleurs ont payé pour “participer” le temps d’un week-end à cette chasse à l’homme. Ils s’installaient derrière les fusils et canardaient les civils que vous voyez courir dans cette vidéo. Des femmes, des hommes, des enfants. Comme un jeu. Comme un loisir. Nous sommes vivantes pour faire justice et personne ne nous arrêtera. Nejra MUSABAŠIĆ
Culture et histoire

Les safaris humains pendant la guerre de Bosnie
L'Horreur absolue, en Europe, des safaris humains organisés pour choisir de tuer un enfant, une femme enceinte, un adulte, le temps d'un week-end. ""Safaris humains": des "touristes" italiens auraient payé pour tuer des civils pendant la guerre de Bosnie : Les "chasseurs" auraient payé jusqu'à 100 000 euros pour jouer les snipers durant le siège de Sarajevo (1992-1996). Il fallait verser un supplément pour s'en prendre à des enfants." "Des citoyens ordinaires, liés à des milieux d'extrême droite et passionnés d'armes, auraient eu recours à ce service comme à une sorte de safari humain dans la ville assiégée", raconte le journal. "Selon la plainte, ils se rendaient de Trieste à Belgrade à bord d'un vol de la compagnie serbe Aviogenex, qui opérait alors depuis l'aéroport italien. Pour jouer les snipers le week-end, ils auraient déboursé l'équivalent de 80 000 à 100 000 euros, selon les premières hypothèses de l'enquête. " "Tirer sur des enfants coûtait plus cher." https://lnkd.in/e568w8Gk "Ils partaient le vendredi de Turin, de Milan ou encore de la Vénétie. Ils se retrouvaient à Trieste, à la frontière italienne de l’actuelle Slovénie, où ils embarquaient dans un avion en direction de Belgrade. Par hélicoptère ou par véhicule, ils s’approchaient ensuite au plus près de la guerre. Là, depuis les collines dominant Sarajevo, ils payaient l’équivalent de dizaines de milliers d’euros pour tirer sur des civils." "Le prix pour planter une balle dans le corps d’un enfant était plus élevé." https://lnkd.in/eCMFHVMJ "lors du procès du dirigeant serbe Slobodan Milosevic à La Haye, on a parlé de « tireurs touristes » portant des vêtements et des armes distinctifs qui se démarquaient parmi les soldats serbes. "https://lnkd.in/e7WFCxes Le portrait type de ces gens "ordinaires" : - des hommes et non des femmes - des hommes assez riches pour dépenser 100 k€ le temps d'un weekend - des hommes habitués au maniement d'armes, donc adeptes du tir - des hommes capables de choisir comme cible un être humain en toute impunité Et pas que des italiens, également des français, des britanniques et une omerta de l'ensemble de nos élus politiques qui ne pouvaient pas ne pas savoir, ne serait-ce que par les états majors militaires engagés sur place et les services de renseignement. Il ne reste plus que la société civile pour crier l'horreur absolue.
Culture et histoire
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