Un burn-out, ça se voit au scanner !

Voici ce que montre un PET scan du cerveau d'une personne en burnout. Et mieux vaut réagir avant d’en arriver là. Non, le burnout n’est pas juste “un état mental”. Ce n’est pas juste une baisse de moral. Ou un manque de volonté. C’est un effondrement mesurable. Au niveau biologique. Au niveau cérébral. Sur un PET scan, le cerveau d’une personne en burnout ressemble à une ville en blackout. L’activité neuronale chute. Le cortex préfrontal (qui régule les émotions et la prise de décision), tournent au ralenti. L’amygdale (qui gère la peur et le stress), s’emballent. Résultat : vous perdez le contrôle émotionnel, la lucidité et votre énergie. Ce n’est pas de la fragilité. C’est de la neurologie. Le burnout, c’est un court-circuit neuronal, provoqué par une surcharge chronique de stress. Un cerveau constamment en mode survie finit par désactiver tout ce qui n’est pas vital : créativité, empathie, motivation. Mais il y a une excellente nouvelle : La neuroplasticité. Votre cerveau peut rétablir ses connexions. Créer de nouvelles routes. Et retrouver un fonctionnement optimal. À condition de lui offrir les bons signaux. Repos, respirations, et surtout un changement d’attitude mentale. C’est pour ça que je parle de stress positif. Parce qu’il existe un chemin où le stress devient un allié de la performance. Et vous, comment entretenez vous votre clarté mentale quand la pression monte ?