Quant t'achètes un F35 en fait ce n'est qu'un prêt des US

𝗟𝗲 𝗙-𝟯𝟱 : 𝘂𝗻 𝗰𝗵𝗲𝘃𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗧𝗿𝗼𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 Les alliés des États-Unis possèdent-ils vraiment leurs F-35, ou ne sont-ils que des locataires d’un système entièrement sous contrôle américain ? Depuis que Trump suspend l’aide militaire à l’Ukraine, ridiculise Zelensky et montre que les intérêts américains priment sur tout le reste, que le terme « alliés » ne veut plus rien dire, cette question prend tout son sens. 𝐔𝐧 𝐚𝐯𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞́𝐩𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐞 En investissant des milliards dans le programme F-35, des pays comme le Canada pensaient acquérir un avion de chasse de nouvelle génération. Mais la réalité est tout autre : 🔹 Les mises à jour logicielles sont sous contrôle américain. 🔹 Les moteurs Pratt & Whitney (F135) nécessitent des mises à jour contrôlées par Washington. 🔹 Le F-35 dépend d’un système de gestion centralisé : ALIS et ODIN. 🔹 Le F-35 doit se connecter aux réseaux militaires américains (Link 16, MADL) pour fonctionner pleinement. 🔹 Les fichiers de mission (Mission Data Files) sont sous contrôle américain (Ces bases de données critiques permettent de reconnaître les menaces et d’utiliser efficacement les armes embarquées. Un pays qui n’y a plus accès perd une partie de ses capacités de combat.). 🔹 Les systèmes du F-35 pourraient permettre aux États-Unis de désactiver ou limiter leurs capacités à distance. 𝐐𝘂𝗶 𝗱𝗲́𝗰𝗶𝗱𝗲 𝘀𝗶 𝘂𝗻 𝗙-𝟯𝟱 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝘃𝗼𝗹𝗲𝗿 ? Le F-35 est un IoT militaire, dépendant de ALIS (Autonomic Logistics Information System) et ODIN (Operational Data Integrated Network) pour : ✅ La maintenance prédictive (détection et anticipation des pannes). ✅ La gestion des pièces détachées (toute réparation passe par ces systèmes). ✅ La planification des missions (intégration des paramètres de vol). ✅ Le suivi des mises à jour logicielles (sans mises à jour, l’avion est vulnérable). Ces systèmes, sous supervision américaine, permettent à Washington de limiter les capacités d’un F-35 en restreignant l’accès aux données critiques. 𝐔𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐚𝐢𝐧𝐞𝐭𝐞́ 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 Si demain, un pays acheteur entrait en conflit diplomatique avec les États-Unis, pourrait-il encore faire voler ses F-35 ? - Sans accès aux mises à jour, les avions deviennent obsolètes. - Sans validation pour les réparations, les moteurs peuvent être immobilisés. - Sans ALIS/ODIN, la maintenance devient extrêmement complexe. - Sans accès aux fichiers de mission et aux réseaux militaires, les armes du F-35 pourraient perdre en efficacité, voire devenir inutilisables. Le F-35 n’est pas une acquisition souveraine, c’est un abonnement militaire sous supervision américaine. C’est le #Netflix de la défense! Faire confiance aux États-Unis et dépendre d’eux pour notre défense : C'EST MAL! #F35 #Souveraineté #Défense #Canada #OTAN #Sécurité #Trump #IoT #CESTMAL