Nutrition et santé
Etude alarmante en Corée du Sud sur les vaccins ARNm
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𝐕𝐚𝐜𝐜𝐢𝐧𝐬 𝐚̀ 𝐀𝐑𝐍𝐦 : 𝐮𝐧𝐞 𝐞́𝐭𝐮𝐝𝐞 𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐚𝐧𝐭𝐞 ! 😱
📍 Une nouvelle étude menée par des chercheurs de premier plan en Corée du Sud a révélé des résultats explosifs : les vaccins à ARNm contre la Covid-19 seraient responsables de changements significatifs dans la personnalité, les émotions et la santé mentale des individus vaccinés.
📍 Publiée dans la revue Molecular Psychiatry du groupe Nature, cette étude alarme la communauté scientifique et soulève de sérieuses questions sur les effets à long terme de ces injections. https://lnkd.in/eXmTGfpu
📍 Les chiffres font froid dans le dos. Sur un échantillon massif de plus de 2 millions de participants à Séoul (les participants ont été sélectionnés aléatoirement à partir de la base de données des demandes de remboursement du service sud-coréen d'assurance maladie), les chercheurs ont observé des augmentations significatives des troubles de santé mentale :
• 68,3 % d’augmentation des cas de dépression
• 43,9 % d’augmentation des troubles anxieux
• 93,4 % d’augmentation des troubles du sommeil
📍 L’étude souligne que les vaccins à ARNm ont provoqué des « manifestations psychiatriques » inédites. Les participants ont décrit des sentiments de perturbation intérieure, de terreur, de peur et de dépression, des symptômes qui n’étaient pas présents avant la vaccination.
https://lnkd.in/emmN56ep
📍 Cette étude soulève des questions fondamentales sur l’éthique des campagnes de vaccination de masse. Pourquoi ces effets n’ont-ils pas été mieux étudiés avant la distribution à grande échelle ? Étions-nous les cobayes d’une expérience mondiale sous le couvert de la santé publique ?
📍 Le silence des autorités sanitaires et des grandes organisations pharmaceutiques face à ces découvertes est assourdissant. Les citoyens méritent la transparence, la vérité, des réponses et des comptes…

Le débunk
Notre débunk est trop long pour un commentaire - et sur ce sujet il faut proscrire les raccourcis !
⚠️ Cet article existe et va plutôt dans le sens décrit ici, mais il y a dans ce post des erreurs et dans l'article des problèmes méthodologiques.
Molecular Psychiatry est un journal à comité de lecture, plutôt respecté (impact factor = 9,6, c'est élevé), il est légitime que l'article attire l'attention - mais on ne peut pas en tirer de conclusions sans de plus amples recherches.
Le post :
❌ Pourquoi n'évoquer que les vaccins ARNm ? Une section entière de l'article compare les types de vaccinations. Les autres vaccins sont également associés (parfois +, parfois -) aux effets rapportés. Ca fait + peur si on dit "vaccin ARN" que simplement "vaccin" ?
❌ Pourquoi évoquer le long terme, l'article dit explicitement ne pas l'avoir abordé ?...
❌ Pourquoi ne pas rapporter la diminution des observations de troubles bipolaires (-33%) et schizophrénie (-77%) ? Cherry picking typique, non ?
❌ Pourquoi évoquer la description des symptômes par les participants. L'article n'en parle pas et ne se fonde sur des diagnostics ? C'est sûr, ça déclenche moins les émotions...
💡 Les troubles psychiatriques sont naturellement surveillés durant les essais https://lnkd.in/e-u9q_E9 : toute visite chez le médecin est analysée. Par construction, les essais ne sont pas à trop grande échelle, et les pathologies rares ou les petits effets ne sont donc pas détectables. Ce n'est pas par pur plaisir que les auteurs ont mené cette étude sur plusieurs millions d'observations !
S'agissant de l'article :
⚠️ C'est une étude observationnelle rétrospective, qu'il faut donc interpréter avec prudence. Ne serait-ce que pour ne pas confondre corrélation et causalité...
⚠️ Les populations vaccinées / non vaccinées se distinguent sur tous les critères de comparaison testés (âge, revenu, comorbidités), ces différences n'étant pas compensées dans les statistiques.
⚠️ Plus marquant encore : sur 351 k non-vaccinés, 4 k ont été diagnostiqués atteints de schizophrénie et 13 k de dépression l'année *d'avant* le vaccin. Pour 2,15 millions de vaccinés, ces nombres sont de 20 k et 153 k. C'est 29% de plus et 46% de moins, en ratio, que les non-vaccinés. On a donc affaire à des populations qui sont totalement distinctes sur le plan de la santé mentale.
⚠️ Les ratios rapportés des troubles observés chez les vaccinés et non-vaccinés ne varient pas entre une semaine et trois mois post-vaccin. Le diagnostic de dépression n'est posé qu'après 15 jours de symptômes continus (au moins en France https://cvc.li/hcfQl). Pourtant, dès la 1ère semaine il y a 27% de diagnostics de dépression en plus dans la population vaccinée.
⚠️ Comme les auteurs le reconnaissent eux-mêmes, l'étude se base sur un seul diagnostic primaire, susceptible d'erreur, et sans suivi des patients. Elle est très localisée géographiquement (à Séoul).
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