La haine raciale anti-blancs en Angleterre

⛔ ABJECT Cet incroyable totem d’immunité dont la haine raciale anti-blancs bénéficie dans la Grande-Bretagne des gangs de proxénètes Les élites britanniques qui nient la motivation raciale des gangs de viols ont sacrifié des jeunes filles blanches vulnérables sur l'autel du multiculturalisme. Par Frank Furedi - Atlantico Après des décennies de silence imposé par les élites britanniques, un débat qui aurait dû avoir lieu depuis longtemps s'est enfin ouvert sur les gangs de viols qui sévissent dans les rues de bien trop de villes du Royaume-Uni. Les réactions indignées se sont multipliées depuis que GB News a rapporté que Jess Phillips, ministre de la protection sociale du gouvernement travailliste, avait rejeté les appels lancés par les survivants des gangs de toilettage de la ville d'Oldham, dans le nord du pays, en faveur d'une enquête publique sur les abus qu'ils ont subis et sur la manière dont ils ont été dissimulés. Les interventions d'Elon Musk, de J.D. Vance, de Nigel Farage et de Kemi Badenoch ont fait qu'il est devenu difficile d'ignorer la dépravation des activités des gangs de toilettage organisés en Angleterre. Depuis plus de 20 ans, c'est un secret de polichinelle que, dans de nombreuses villes anglaises, des gangs de viols « asiatiques » - principalement pakistanais - opèrent au vu et au su de la police locale et des autorités. Le rapport de condamnation de 2013 sur le gang de toilettage d'Oxford ne laisse planer aucun doute sur la dépravation morale de ces criminels. Ces gangs ont reçu un laissez-passer pour poursuivre leurs crimes monstrueux parce que ni les élites locales ni les élites nationales n'étaient prêtes à reconnaître le fait que la Grande-Bretagne multiculturelle était en grande difficulté. Toute personne qui tentait d'exposer les activités de ces gangs et de mettre en évidence les origines ethniques des criminels et des victimes était immédiatement dénoncée comme islamophobe et raciste. Je me souviens encore de la diffamation dont a été victime Ann Cryer, députée travailliste de Keighley, dans le Yorkshire, pour avoir osé rendre publiques d'horribles histoires d'abus racontées par un groupe de sept mères locales en 2003. Ces femmes ont raconté à Ann Cryer comment leurs jeunes filles étaient victimes d'abus répétés de la part de leurs « petits amis » asiatiques. Pour avoir tenté de rendre publique l'ampleur stupéfiante de ces crimes, M. Cryer a été dénoncé comme islamophobe et traité de raciste, de menteur et de fantaisiste. Face à une telle férocité de la haine, Mme Cryer a été contrainte d'installer un bouton d'alarme dans sa propre maison. Cela fait plus de vingt ans qu'un groupe d'entrepreneurs multiculturalistes et leurs collaborateurs dans les médias et l'establishment politique ont tenté de faire taire Cryer. [...]