On va la faire courte.
L’étude en question (
https://cvc.li/gFbRv) aurait mis en évidence, dans les vaccins Moderna et Pfizer, la présence de :
- sortes de "vers" animés capables de provoquer des caillots sanguins,
- nanotechnologies susceptibles de s’organiser en nanorobots capables de communiquer avec des bases de données à distance.
Pourquoi cette étude est douteuse ?
D’abord, parce que la revue dans laquelle elle a été publiée (IJVTPR), créée en octobre 2021 en plein Covid, est un journal non évalué par les pairs, très critiqué par les virologues et immunologistes du monde entier (
https://cvc.li/jkzLp).
L’équipe éditoriale comprend un ophtalmologue, un ostéopathe, un neurochirurgien à la retraite, un avocat et des représentants de Children Health Defense, la célèbre association antivax de Robert Kennedy Jr (
https://cvc.li/efNyR).
Le premier auteur, Daniel Broudy, est professeur de rhétorique et de linguistique (
https://cvc.li/AbtUu) ; l’autre, Young Mi Lee, est spécialisée en médecine fœto-maternelle (
https://cvc.li/CJmyj). Rien à voir avec les vaccins, donc.
Enfin, l’étude elle-même a utilisé un protocole tellement flou qu’il est impossible de vérifier les résultats (
https://cvc.li/onBXf).
Bref, vous pouvez oublier…